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Falaises de Moher
Tina chanteuse de balades Irlandaises
Irlande mystérieuse.
L'harmonie de sa voix nous conte des légendes
Qu'accompagnent sur la harpe ses doigts blancs délicats
Elle envoûte en un chant au doux nom de l'Irlande
Transporte le récit plus loin que l'au-delà.
La chute magnifique des falaises dans la mer
Force béatitude et ferveur dans la foi
Force du vent hurlant en entrant dans les terres
La femme mystérieuse porte au cou une croix.
La douce psalmodie s'élève aux calvaires
En ode à la beauté insuffle le Crédo
La femme mystérieuse avance vers l'éther
Trouve un roi dédaigneux régnant sur un tombeau.
Albion saisit l'histoire de toute sa perfidie
Du sang sort de la plume, s'écoule dans la prose
La femme mystérieuse agonise et gémit
Dans ses chairs s'insinuent les épines de la Rose.
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IRLANDE
On ne raconte pas l'Irlande...
On en prend plein les yeux,
Plein la gueule, plein le foie.
On ne raconte pas l'Irlande...
On la respire toute
Aux haleines salées
Des rochers de Moher;
On l'écoute se plaindre
Au be-bop du bodhran
Martelant les entrailles,
A l'archet cisaillant
Les cordes du violon.
On ne raconte pas l'Irlande...
On se gave de vert,
On se soule de vent,
On l'entend qui mugit
Sur les îles d'Aran,
Son souffle d'amertume
Rebondit sur les pierres
Dont les runes gravées
Disent l'éternité.
On ne raconte pas l'Irlande...
On la noie dans la bière,
Ambre et béatitude;
On la porte en son âme,
Vivante nostalgie;
Elle vous a pénétré
Comme un amant violent;
On en souffre, on la hait,
On gémit, on en meurt.
On ne raconte pas l'Irlande...
Mais
On ne s'en remet pas !
Ecrit par Sucre et sel
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Le Connemara :
Les fleurs blanches sont du coton
Un beau lac du Connemara.
Race de mouton typiquement irlandaise
Château de Kylemore où il a plu pendant une heure, la seule pluie pendant notre séjour ! ! !
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