• Baladeà Narreyroux.

    Dans la clarté du petit matin, nous partons pour une belle randonnée,

    Baladeà Narreyroux.

    Nous apercevons le Pelvoux 4102 m .

    Baladeà Narreyroux.

    Les écrins

    Baladeà Narreyroux.

    Comme le panneau l'indique, nous sommes à 1698 m  d'altitude.

    Baladeà Narreyroux.

    Il y a un gros toutou qui aimerait bien nous suivre...

    Baladeà Narreyroux.

    Première touche de couleur dans tout ce vert...

    Baladeà Narreyroux.

    Baladeà Narreyroux.

    Maintenant des touches de jaune...

    Baladeà Narreyroux.

    Une plaque de verglas, il faut dire qu'en ce début de matinée, il faisait 5°C .

    Baladeà Narreyroux.

    Un torrent qui vient du dessous de la route.

     

    Baladeà Narreyroux.

    Petit ruisseau souterrain.

    Baladeà Narreyroux.

    Torrent au fort débit.

    Baladeà Narreyroux.

    On arrive dans une zone d'ocres...

    Baladeà Narreyroux.

    Je me prépare à "attaquer"la montée.

    Baladeà Narreyroux.

    J'y arrive...

    Baladeà Narreyroux.

    La voilà !!!


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  • Octobre est doux. - L'hiver pèlerin s'achemine

    Au ciel où la dernière hirondelle s'étonne.

    Rêvons...le feu s'allume et la bise chantonne.

    Rêvons...le feu s'endort sous la cendre d'hermine.

     

    L'abat-jour transparent de rose s'illumine.

    La vitre est noire sous l'averse monotone.

    Oh ! le doux "remember" en la chambre d'automne,

    Où des trumeaux défunts l'âme se dissémine.

     

    La ville est loin : Plus rien qu'un bruit sourd de voiture

    Qui meurt, mélancolique, aux plis lourds des tentures.

    Formons des rêves fins sur des miniatures.

     

    Vers de mauves lointains d'une douceur fanée

    Mon âme s'est perdue ; et l'Heure enrubannée

    Sonne cent ans à la pendule surannée ...

     

    Albert Samain


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  • La lune est rouge au brumeux horizon ;

    Dans un brouillard qui danse, la prairie

    S'endort fumeuse et la grenouille crie

    Par les joncs verts où circule un frisson ;

     

    Les fleurs des eaux referment leurs corolles ;

    Des peupliers profilent aux lointains,

    Droits et serrés, leurs spectres incertains ;

    Vers les buissons errent les lucioles ;

     

    Les chats-huants s'éveillent, et sans bruit

    Rament l'air noir avec leurs ailes lourdes,

    Et le zénith s'emplit de lueurs sourdes.

    Blanche, Vénus émerge, et c'est la nuit.

     

    Paul Verlaine


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